Après La serpillère de Monsieur Mutt et Pourquoi un arbre est une poule, Marc Lacourt revient à Ivry et voit en plus grand. La scène est traversée de danseuses et danseurs aussi hétéroclites qu’improbables, dont les apparitions sont contrariées par un décor qui ne tient pas en place.
Ça tombe du ciel, ça joue des chutes et des déséquilibres, ça convoque des monstres affreux, ça choisit la douceur. Le récit se bricole à rebours dans un joyeux chaos narratif.
Avec toujours l’histoire de l’art - des cavernes au surréalisme. Un rituel animiste qui débooooorde de poésie et d’humour.